Lundi 15 Septembre 1986 – Une Surprise

Depuis un mois j’étais de retour au travail et ce matin comme touts les matins j’étais à 7,00 heures à l’embauche du personnel travaux qui était suivi à 8,30 heures par le personnel administratif et les bureaux avaient repris leur calme habituel. Mon téléphone sonna vers 9,00 h et la secrétaire de l’accueil me demanda si Mlle Anaïs D … qui n’avait a de rendez-vous, voulait me rencontrer.
J’eus quelques instants de surprise avant de dire qu’il n’y avait pas de problème. Et j’entendis les talons claqués dans le couloir qui desservait mon bureau. Anaïs entra très digne vêtue d’un imperméable serré à la taille, je l’avais vu plus élégante, mais c’était toujours une belle femme.
A peine avait-elle fermée la porte qu’elle me dit : « Il a fallu que j’insiste pour que ton cerbère daigne te demander si tu pouvais me recevoir »
Moi : « Il est un fait que tu aurais pu passer un coup de fil je t’aurais réservé ma matinée ou ma journée »
Anaïs : « Je peux partir, … »
Moi : « Idiote, viens, … que je te dise bonjour autrement que de loin, …
Elle s’approcha, non, nous approchâmes et si nos lèvres se joignirent, il en fut de même de nos corps. Pour son baiser, notre baiser, nos lèvres, nos langues se retrouvèrent se caressèrent et il en fut de même de nos corps qui se collèrent l’un à l’autre.
Reprenant notre souffle, je lui demandais comment il sa faisait que j’avais le plaisir de la voir. On s’installant à la table de conférence perpendiculaire à mon bureau et elle me raconta qu’en fait, son père, responsable travaux dans le bâtiment prenait la responsabilité de la construction d’un lotissement à coté de Cognac et, pour la durée des travaux, comme à leur habitude, son père et sa mère s’installaient dans un camping avec leur caravane. Mais cela faisait plus de 7 heures de route, ayant vu que ce n’était pas loin d‘Angoulême, l’idée lui était venue de passer me voir, elle s’était donc proposée comme deuxième chauffeur.

Ils avaient roulé tout le dimanche, le lundi elle avait loué une voiture pour retourner à Lyon et avant de repartir, elle était passée pour un petit bonjour.
Je le rendis compte, pendant son récit, que je ne l’avais pas invité à retirer son imperméable et que ce simple geste manquait de courtoisie, sans parler que je ne lui avais même pas offert un café. Je m’excusais de cette impolitesse.
Anaïs : « Ah, quand même, je te connaissais plus gentleman, … bon, … »
Elle se leva, défit sa ceinture et ouvrant son imperméable, elle me dit : « Je continue, … »
Là, le choc, elle était entièrement nue sous son imperméable et maintenant son imper largement, elle me dit avec son sourire en coin : « Tu vois j’ai mis des bas, … ça fait plus habillée, … »
La voyant ainsi, je constatais une fois de plus que cette femme avait vraiment un corps splendide, des seins bien ronds, un peu lourds mais juste ce qu’il fallait pour être agréable à regarder et à prendre en main, la taille fine et une toison bien taillée en triangle, comme une pointe de flèche indiquant la direction de sa chatte, … La surprise passée, j’en ai oublié le café et les bras tendus je m’insérais dans l’imperméable et la serrais dans mes bras. « T’es toujours aussi belle, … et aussi surprenante, … »
Anaïs : « Caresses moi, … j’aime sentir tes mains sur ma peau, … dis que t’as envi de moi, … que tu veux me prendre, … me faire l’amour, … non me baiser, … fort, … allez cause un peu, … »
Pendant ses paroles, je m’étais légèrement éloigné et devinant ce que je voulais faire, son bassin collé au mien, elle partit en arrière me donnant ainsi un libre accès à ses seins, que je m’empressais de sucer, de téter, … J’abandonnai ses seins, pour laisser glisser une main curieuse
entre nous. Pour enfin atteindre son entrejambe et voir si son minou était déjà bien chaud, bien humide. A peine arrivée au but, sa chatte vint se poser dans le creux de ma main, chaude à souhait et ouverte, un premier doigt, un deuxième puis un troisième furent attirés par ce fourreau chaud et humide.
La pénétration faite en douceur entraina un « OH … OH » Les jambes pliées légèrement ce qui avança le bassin vers mes doigts qui pénétrèrent plus avant à la satisfaction de ma partenaire ce qui se traduisit par : « OH, … OUI, … OUI, .. » Encouragé, je commençais des allers et retours qui furent également appréciés et la machine se mis en route. Aussitôt ses reins se mirent en mouvement, mes doigts servant de sex-toy avec lequel, en fait, elle se masturbait et toute excitée : « Oui, … c’est bon, … continues, … j’aime, … ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, …» Il était évident qu’elle était seule à la recherche de son plaisir et que je n’étais plus là, mais tout cela faisait que j’avais une trique intéressante. Heureusement : « Oh, … OUI, … OIIIIIIII, … OUIIIII… » et elle eut un bel orgasme, tel que tout son corps se contracta brutalement et qu’elle se cramponna à moi, le souffle court. Quelques instants après, elle revenait sur terre et me dit : « T’es fier de toi, … tu m’excites, … tu m’excites, … et qu’est-ce qu’on fait maintenant … ? »
Là, c’était le moment, en quelques secondes, de bien choisir mon vocabulaire, sous peine de la voir se refermer comme une huitre. J’avais le choix entre deux possibilités, « on va faire l’amour, … » ou, « on va baiser, … » certes le résultat serait peut-être le même, on devait en principe se retrouver au lit, mais d’un coté une envie affichée d’en vouloir de l’autre une façon décontractée d’accepter.
Je lui dis donc : « Donnes moi le temps de passer 3 coups de téléphone pour reporter des rendez-vous et je t’emmène chez moi, où nous serons plus tranquille qu’ici pour que je m’occupe de toi, car avec ce qui vient de se passer j’ai une trique dont il faut que tu t’occupes, … »
Anaïs : « Tu veux que je m’en occupe pendant tes coups de téléphone ? »
Moi : « Ah oui, … et comment ? »
Anaïs : « Je passe sous le bureau, … je me suis toujours demandée l’effet que ça peut faire, … ce doit être follement excitant, …»
Moi : « Elle est folle, … malheureusement le bureau est ouvert, … »
Anaïs : « Dommage, … »
Moi : « Laisses moi le temps, … et on file chez moi, … j’ai très envie que tu m’accueilles dans ton fourreau bien chaud, … de te baiser, … »
Anaïs : « Dépêches toi, … t’as réussi à m’exciter, … je sens ta place, … »
Les coups de téléphone passés, je me levais et avant d’ouvrir la porte de mon bureau, je coinçais, enfin Anaïs se laissa coincer contre la porte alors que je glissais une main dans son entrejambe qui était bien chaud, elle se mit à me caresser la braguette, ce qui ne fit qu’augmenter la chose.

Anaïs : « Je vois que tu es en forme, … je pense que je vais t’aider à conserver cette forme, … » et elle commença à descendre le zip et glissa sa main dans la braguette :
Moi : « Arrêtes, … t’es folle, … quelle garce tu fais, … arrêtes, … »
Anaïs : « Tu aimes que je sois ta garce, … j’aurais aimé aller plus loin, … je sais que tu aimes quand je suis ta garce, …»
Nous quittâmes le bureau, en passant devant lé réception et le regard interrogatif de la secrétaire : « Si vous avez besoin de moi, appelez moi sur la voiture » et je filais.
Je lui indiquais que l’on prenait ma voiture, elle prit une espèce de fourre tout et nous prîmes la route et par jeu, je décidais, de la chauffer, de l’exciter un peu plus et ayant une boite de vitesses automatique, je glissais ma main droite disponible vers et sur les jambes de ma passagère pour en écarter les pans de l’imper. Les jambes dégagées, je remontais au dessus des bas et enfin, ayant écartée les cuisses, j’atteignais son minou et le caressais doucement. Anaïs bascula légèrement le dossier du siège, ce qui fit avancer son bassin et me donna un meilleur accès à sa chatte. Atteignant son minou la main d’Anaïs vint se poser sur la mienne et elle poussa mon majeur dans sa chatte avec un : « Oui, … c’est bon, … » puis elle me bloqua la main en refermant les cuisses tout en disant : « C’est là que tu es le mieux,… ». On arrivait, afin de me garer, je dus extraire ma main de la pince de ses cuisses. Habitant au rez de chaussée, rapidement nous fûmes dans l’appartement. Le fourretout, ne dépassa pas l’entrée, suivi aussitôt par l’imperméable et les escarpins et Anaïs se jeta sur le lit avec un soupir de contentement et un : « Viens, … je t’attends, … dépêches toi, … »
J’avais beau faire, il me fallu quelques minutes pour me trouver en tenue d’Adam. Aussitôt, je me logeais dans l’ouverture du compas de ses jambes, pour humer son odeur de femme chaude qui se dégageait de sa chatte et gouter au jus qui humidifiait ses grosses lèvres.
Alors que ma langue parcourait ses grosses lèvres, les mains d’Anaïs ayant abandonnées ses seins, descendirent au niveau de son minou et l’ouvrit en disant : « Lèches moi, … oui, … prends moi avec ta langue, … oh, … oui, … » Je m’exécutais, mais elle m’arrêta rapidement et je remontais sur elle pour faire un arrêt sur ses seins qui, j’en étais certain, ne demandaient qu’à être léchés, sucés et tétés, ce que je m’employais à faire, les mamelons pointés durs et fermes, il était urgent de s’en occuper et de les prendre en bouche pour les décongestionner, … ce que je fis et ce qui fut apprécié, mais il y avait le feu ailleurs, chez ma partenaire et chez moi. La décision fut vite prise par Anaïs qui dit : « Arrêtes les préliminaires, … Viens, … prends moi, … je te veux sur moi, … je veux te sentir me prendre, … prends moi vite, … mais baises moi, … baises moi, fort, … je suis prête, … je t’attends, … » J’avais déjà une belle trique et sans hésiter, elle se saisit de mon engin et le guida vers sa chatte chaude, humide et ouverte que je pus investir d’un seul coup de rein, sans difficulté tellement elle était ouverte. Son fourreau était chaud, humide et tout coulissait avec douceur. C’était le moment d’être performant, je la ramonais avec énergie et plus mes va et vient étaient fort ou même un peu brutaux plus ma partenaire semblait apprécier : Oui, … continues, … j’aime te sentir sur moi, … oui, … je suis à toi, … oui, baises moi fort, … plus fort, …oui, … c’est bon, … continues, … je sens que ça vient, … » Elle avait replié les jambes, je m’empressais de glisser mes bras sous ses genoux et ramener ses jambes tendues sur les épaules ce qui la faisait se cambrer et la rendait plus ouverte à mes coups de reins, mais elle était tellement chaude que : « … OOOHHH, … OUIIII, … OUIIIIIIII , … OUIIIIIII, … » et elle partit avec un gros spasme suivi d’un plus petit, qui la secoua et fit que cramponné à elle, surpris, je me vidais d’un seul coup dans son fourreau accueillant.
Le temps de reprendre nos esprits, Anaïs vint se coller contre moi : « Tu es un amour, … au moins je ne suis pas venu pour rien, … » Puis se levant : « Je prends la salle de bains » et j’entendis des bruits d’eau. Je trainais un peu en attendant sa sortie de la salle de bains et je me décidais enfin à me lever, quand Anaïs sortit de la salle de bains : « Ne te sauves pas, … tu n’as pas fini, … » et elle me repoussa sur le lit, se mettant sur moi : « Laisses moi t’embrasser, … » ce qu‘elle fit, mais se mettant sur moi, ce fut non seulement ses lèvres, mais son corps entier qui se collait, qui se tortillait sur à moi. Puis descendant doucement tout en m’embrassant elles arriva au niveau de « popol » qui ne faisait pas grand honneur à son propriétaire, mais sans problème Anaïs me dit : « Je veux nous gouter, … » et doucement elle commença à s’occuper de ma tige. « J’ai encore envie de toi, … tu m’as donné du plaisir, … je vais m’occuper de toi, … je veux te donner du plaisir, …» Pendant ce temps, le bout des doigts parcouraient, non, effleuraient doucement ma tige, puis avec juste le bout de sa langue elle commença à titiller mon gland, juste par petits coups de langue et au fur à mesure que mon outil reprenait de la vigueur, ses lèvres comme un fourreau se mirent en action en un doux va et vient, remplacé par sa langue pour lécher, à grands coups de langue mon gland comme une glace et enfin ma bite reprenant une consistance certaine elle finit par me prendre entièrement en bouche et à me pomper avec énergie
Moi : « Si tu continues tu vas m’épuiser, … »
Anaïs : « J’y compte bien, … je te veux complétement, … dis moi que tu as encore envie de moi, … que tu veux me prendre encore, … oui, j’ai envie de toi, … »
Moi : « Arrêtes, je ne vais plus tenir, … » alors que je disais cela, elle remonta enfin rampa en se contorsionnant sur moi, jusqu’à venir m’embrasser en me disant : « Tu vois, tu as retrouvé la forme, … je veux en profiter, … j’ai envie de toi,… viens prends moi, … « et se mettant en levrette, le cul bien en évidence, elle continua : « Viens, … prends moi par là, … prends mon cul , … tu m’as dit qu’il te plaisait, … il est à toi, … encules moi, … vite, … » et pendant ces paroles elle avait posé ses mains sur ses jolies fesses et les avait écartées, permettant une belle vue sur sa rosette. Comment résister à une telle invitation. Me positionnant derrière elle, je prenais mon engin et doucement lui faisais parcourir la raie de sa moule et remontais jusqu’à sa rosette, puis redescendant vers son minou, dans lequel j’enfonçais légèrement mon gland et me retirant, remontais vers sa rosette. La réaction à ce petit jeu ne se fit pas attendre : « Arrêtes ce jeu pervers, … prends moi, … arrêtes de m’exciter, … rentres, … prends moi où je hurle, … » Alors, je me positionnais devant son petit trou et commençais à l’enfoncer, il ne fallut pas beaucoup d’effort pour l’investir, ce qui fut apprécié par : OOOHHH, … oui, … rentres bien, … » Alors que mes va et vient qui avaient commencés assez doucement, entrainé par ma partenaire, j’avais accéléré la cadence et l’investissais à grands coups de reins : « Oui, … c’est bon, … prends moi fort, … encules moi fort, … j’aime te sentir me remplir, …ne t’arrêtes pas, … » et je vis sa main droite glisser vers son entrejambe et certainement pour s’occuper en même temps de sa chatte. J’en profitais pour, comme elle me l’avait demandé, de lui claquer les fesses, ce qui la faisait réagir, et elle se cabrait brutalement avec : « Oui, … continues, … je sens que ça vient, … plus vite, … OOOOHHH, … continues, …remplis moi de toi, … OOOOHHH, ... OUIIIIII, … OOOOHHHH, … OUIIIIIIII, … » jouissant elle eut un gros spasme, qui la fit se contracter sur mon engin, mais pour moi qui bandait comme pas possible, elle était partie trop vite. La tenant fermement par les hanches j’étais resté planté dans son cul, et après les mouvements un peu désordonnés extériorisant son plaisir, je continuais mes va et vient avec d’autant plus d’énergie que je sentais que mon plaisir arrivait. Anaïs commença à réagir négativement, puis à son esprit défendant, le corps repris ses droits, il y eut alors deux phases : « Non, … arrêtes, … non arrêtes,… Oui, … OH, … oui, … continues, j’aime, … OOOHHH OUI, … c’est bon, … je vais jouir, … oui, encules moi fort, … je veux jouir encore, … OOOHHH, … ne t’arêtes pas, … OUIIIIII, … OUIIII, … » et un peu avant qu’elle parte, cramponné à ses haches et bien enfoncé en elle, je m’étais vidé en deux jets distincts, puis m’écroulais sur et à coté d’elle.
Ayant terminé nos jeux, un petit tour à la salle de bains pour se faire une beauté et chacun se rhabilla. Pour Anaïs de jolis dessous blancs en dentelles, des bas dim-up, beiges très clairs, un corsage bleu clair et une jupe trapèze d’un bleu un peu plus foncé, le tout, élégant. Pour ma part, la tenue classique chemise blanche cravate, costume bleu foncé.
Comme il était environ onze heures trente, je lui proposais d’aller déjeuner au restaurant de la gare, où, l’on mangeait très bien et où j’avais mes habitudes. Le repas fut très correct comme d’habitude et la conversation ne chôma pas. Repas terminé, j’allais voir la patronne qui tenait la caisse pour régler l’addition, quand Anaïs s’éclipsa aux toilettes. Puis on se retrouva à la voiture et retour au bureau. Il y avait une petite demi-heure de route. Ma main droite était toujours libre et j’en profitais pour la poser sur la cuisse de ma compagne, enfin sur la jupe. Aucune réaction, je décidais d’aller plus loin et remontais doucement la jupe pour pouvoir mettre la main sur la cuisse recouverte du bas. Anaïs, alors remonta sa jupe et j’atterris sur sa cuisse, je remontais au-dessus du bas pour caresser cet espace où la peau était très douce au toucher. Anaïs avança encore légèrement le bassin, j’arrivais sur son minou. Oh surprise la petite culotte avait disparu, … Et pendant que j’entreprenais de m’en occuper, je lui dis : « T’es quand même une sacrée, … » mais je m’arrêtais, tout compte fait c’était agréable.et Anaïs reprit la suite en disant : « … une sacrée salope, … c’est ce que tu voulais dire, … » Continuant mon exploration digitale de sa chatte je n’osais répondre et elle continua : « … Oui, … j’aime être ta salope, … ça t’excite, … et j’aime t’exciter, … je vais te dire, j’aime sentir tes mains sur ma peau, … être nue sous mon imper, … ça m’excite car je sais que tes mains vont finir par caresser ma chatte et j’aime sentir tes mains envelopper mon sexe, … » et elle mis sa main sur ma braguette, ce qui eut un effet immédiat qui se traduit rapidement par un gonflement de la chose, qu’elle commença à … malaxer doucement.
Moi : « Non mais, … » me coupant la parole : « Tu aurais été déçu de caresser un bout de tissu au lieu de mon minou bien chaud, … tu m’as dit que j’aimais le sexe, … oui, j’aime le sexe, … quand tu me fais l’amour, …, non quand tu me baises, je sais que tu vas prendre ton plaisir, mais je sais aussi que tu vas me donner beaucoup de plaisir, … tu vas me faire grimper aux rideaux, … c’est pour ça que j’aime être ta salope, … et je sais que tu aimes ça, … »

J’étais sans voix et heureusement nous étions arrivé au bureau et il était environ une heure, le personnel ne devant pas arriver avant 14 heures, alors qu’elle mettait son fourre tout dans sa voiture, je l’entrainais vers mon bureau. A peine dans le bureau, je la prenais dans mes bras et se collant il y eut un baiser passionné, qui dans le mouvement nous amena au niveau de la table de conférence. La soulevant pour la mettre sur la table je lui dis : « Je vais te bouffer la chatte, … »
Anaïs se laissant aller sur le dos, alors qu’elle remontait sa jupe : « Viens c’est à toi, … oui, … bouffes moi la chatte, … lèches moi, … prends moi avec ta langue, … tes doigts, … j’aime te sentir me prendre, … » Je me remplissais les narines de sa chaude odeur et goutais à son jus de plaisir qui coulait généreusement, la langue aidé des doigts la préparèrent à un autre investissement, qu’elle décida brutalement : « Prends moi, … arrêtes avec ce petit jeu, … c’est toi que je veux, … »
Se laissant glisser de la table, elle se retourna et prit appui sur la table et remonta sa jupe, me présentant son joli cul : « Alors, … tu attends quoi, … je veux te sentir me monter, … viens monter ta salope, … «
T’as un joli cul, je vais te prendre par là, … « Non, … pas là, … tu l’as déjà eu, … baises moi, … baises moi comme ta salope, … »
Prenant mon engin en main je parcourais sa raie, chatte, cul, chatte, cul, la réaction ne tarda pas : « Arrêtes, de jouer, … prends moi, … je t’attends, … je suis prête, …baises moi, … tu vas me rendre folle, … »
Elle avait glissé sa main entre ses cuisses et au moment de m’approcher, elle me saisit la queue et la dirigea vers son fourreau chaud et accueillant, bien guidé, un bon coup de rein et j’investissais sa chatte que je commençais à travailler, car si elle était chaude, moi je bandais dur. Elle monta en pression très rapidement : « Oui, … continues, … oui, bourres moi la chatte, … j’aime te sentir, … baises moi, … baises moi fort, … ne t’arrêtes pas, …je sens que ça vient, … dis moi que je suis ta femelle, …OUIIIII, … OOOOHHH, ….. OUIIIIIIIII, … » et elle eut un spasme aussi rapide que brutal … mais elle était partie trop vite et moi, je continuais à bander et cramponné à ses hanches je continuais à la ramoner avec énergie, car avec les excès faits depuis le matin, je sentais le plaisir dans les reins, mais rien ne sortait et il fallait que ça sorte. « Arrêtes, … je ne peux plus, … mais, … OH, … non, … oooohhh, … ouiiii, …»
Alors, je pensais à lui claquer ses belles fesses : « OH, … salaud, …ouiiiii, … continues, … j’aime, … OUIIII, … OOOOHHHH, … n’arrêtes pas, … je sens que ça vient, … » et là bien enfoncé un dernier coup de rein et je me vidais dans sa chatte, heureusement, elle se mit à jouir, traduisant son plaisir par un long cri de gorge et elle se laissa tomber sur la table. Ayant rapidement repris ses esprits elle se redressa, rabattit sa jupe. Alors que je me rhabillait, elle s’accroupit et prenant « popol » en main elle me dit : « Attends, … je veux gouter à notre plaisir, et prenant délicatement ma tige elle la caressa à coups de langue pour enfin me prendre entièrement en bouche pour une petite sucette. Enfin elle se redressa, et se collant à moi en disant : « Il est temps que je parte, … si tu passes par Lyon, n’oublies pas que tu as un chambre avec un lit garni qui t’attends, … » elle partit, enfin arrivé à la port du bureau, elle se retourna pour dire : « Ce n’est pas la peine de dire à Evelyne que l’on s’est vu, … allez au revoir amour,… »

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